Je ne gagne pas assez pour nous deux. Carine doit donc décrocher un travail dans un bar à hôtesses. Son rendez-vous pour son entretien d'embauche est à 18h30. Elle se prépare toute l'après-midi pour être la plus belle. Bain, crème, parfums, quelques caresses l'amènent à choisir une robe très excitante. Elle sait qu'elle suscite le désir chez les hommes et cela est parfait pour ce travail. Ses jolies formes s'accompagnent d'un déhanché faisant tourner la tête des hommes et de certaines femmes... Elle aime qu'on la regarde et qu'on la touche; Elle sait que cela m'excite particulièrement; De nombreuses fois elle a pu tester ses charmes auprès de la gente masculine.

Dès l'âge de 19 ans elle excitait des jeunes hommes dans des chats sur internet. Elle jouait l'innocente et demandait aux garçons de lui livrer leurs fantasmes. Puis, elle leur donnait rendez-vous dans des grands halls où elle avait préalablement repéré des coins tranquilles pour se faire caresser. Son trip à l'époque était de venir avec une jupe large plissée, courte avec des bas. Elle rendait, les gars dingues. Elle en profitait pour les masturber au dessus de leur pantalon pendant qu'elle se faisait tripoter. Souvent ils voulaient aller plus loin, elle leurs demandait de la faire jouir avant. Ensuite elle prétextait d'aller aux toilettes et les abandonnait en l'état...

Bar à hôtesses : Elle porte une robe moulante rouge avec un petit gilet de même couleur. La robe épouse parfaitement ses jolies formes. La texture est douce au touché. Quelques fibres élastiques viennent mouler chaque courbure de Carine. Elle a mis des collants en forme de porte-jarretelles laissant une ouverture au milieu, propice pour les caresses intimes. Le lieu est sombre, rendant l'ambiance un peu dangereuse. Un homme lui ouvre. Il n'est pas trop grand, un peu dégarni avec un costume, ni beau ni moche mais avec une certaine assurance. Il parle comme s'il donnait des ordres en mêlant sensualité et ambiance «cochonne». Ce cocktail met Carine dans un drôle de ressentiment d'excitation et de paralysie. Monsieur Jean lui montre le fonctionnement de l'établissement. Pour chaque explication, il pose une question en rapport avec le sexe pour déterminer les limites de Carine. Les clients n'ont pas le droit d'avoir des relations sexuelles avec pénétration. L'argent proposé ne doit rien changer aux règles mais Monsieur Jean indique que le but est de faire tourner la «boutique». Cela induit d'être compréhensive vis à vis du client... Qui plus est, il lui rappelle qu'elle peut ne pas faire l'affaire si elle ne fait pas boire la clientèle.

Au bout d'une demi-heure, Monsieur Jean lui demande de faire un essai. Il est 19h, il lui demande de travailler jusque 23h, pour s'habituer dit-il.

Carine s'exécute et s'assoit sur un tabouret.

« Tu aimes boire quoi ? ». Demande Monsieur Jean

« De la vodka ». Répond Carine.

Monsieur Jean lui serre une vodka double. Elle s'empresse de mettre le verre à sa bouche et de tremper ses lèvres. Elle se dit que cela la mettra à l'aise. Monsieur Jean continue d'entretenir la conversation sur des sujets divers. Puis il vient à demander ces expériences sexuelles. Carine se livre facilement en répondant avec franchise. Elle ne se rend pas compte qu'elle commence à mouiller. C'est alors que la porte d'entrée s'ouvre. Trois hommes entrent dans le bar. Au même moment, deux femmes viennent prendre place sur les canapés. Lorna et Zara, les deux futures collègues de Carine attendaient dans la pièce d'à côté en écoutant la conversation. Une sonnette dans la pièce leur a indiqué qu'il y avait du travail. Elles arborent un large sourire et se dirigent vers les trois hommes pour les accueillir. Paul, l'un d'entre-deux, se détache du petit groupe et se dirige en direction de Carine. Il s'assoit sur le tabouret à côté.

« Bonsoir », « Je suis à vous ce soir, joli Monsieur », « Vous m'offrez un verre ? » Dit-elle avec un large sourire.

L'homme lui répond et demande à Jean de leur servir un verre. Il se rapproche et entame la conversation en mettant une main sur son genou. Très plaisant, il raconte des histoires drôles tout en lui parcourant la jambe. Une deuxième tournée arrive. L'homme met sa main dans son entrecuisse. Pour lui faciliter l'accès à son petit minou, elle s'avance sur le tabouret et écarte légèrement les jambes. Elle commence à avoir chaud et retire son gilet en offrant la vue de sa poitrine généreuse. Sa chatte est bien mouillée, l'homme lui caresse délicatement. Son expérience des femmes lui permet de faire monter l'excitation de Carine. Elle commence à gémir.

Lorna et Zara s'occupent des deux autres hommes. Rires et caresses, mains qui s'abandonnent. Elles sont très excitées de la scène cochonne qui se livre à eux. Les deux hommes se font caresser le sexe par dessus leurs pantalons. Lorna vient s'asseoir près de Carine. Elle l'excite fortement. Elle vient caresser sa poitrine en se positionnant par derrière. La jouissance est forte pour Carine.

Monsieur Jean semble content de la prestation et lui fait savoir en lui faisant un clin d'oeil. Elle prend l'initiative d'emmener les clients dans les salons. Les pourboires sont nombreux d'autant qu'elle aime en prendre plusieurs à la fois...Les caresses sont nombreuses, elles masturbent plusieurs hommes en allant même à en sucer certains. Ses orifices sont tous recherchés. Les mains sont nombreuses et les langues aussi. Carine est maintenant à quatre pattes sur le canapé. Elle embrasse goulûment l'homme qui en dessous d'elle. Son cul est abondamment léché. Des doigts s'y invitent aussi; cela l'excite énormément. Elle aime que chaque homme vienne se mettre dans sa bouche.

La soirée se passe bien et Monsieur Jean dit à Carine que c'est un bon début. Il l'invite vers un salon qu'elle n'avait pas vu. Avant de la faire entrer, il lui chuchote à l'oreille des petits mots cochons et commence à caresser ses fesses. Il n'est pas en reste, la main habile de Carine est déjà en train de lui sortir son sexe déjà bien dur. Il la plaque alors contre le mur et vient se frotter à elle.

« Cà t'excite ma cochonne », « Tu aimes çà »

Carine est toute émoustillée. Elle se cambre et offre son cul à Monsieur Jean qui n'hésite pas à la pénétrer brutalement. « Oh oui, je suis une cochonne, Monsieur Jean. Faites-moi tout ce que vous voulez. Oh oui, c'est bon, encore, encore, vous êtes cochon, oh oui bourrez-moi, ah, ah oui, bourrez-moi, ah, aahh, ah vous m'excitez, encore...aaahh » Il lui donne de gros coups de boutoir avec sa grosse queue. Chaque coup est puissant et profond.. La semence de Monsieur Jean vient inonder son cul tout offert. Elle râle de plaisir et jouit d'avoir cette grosse bite en elle. Chaque va-et-vient lui donne de l'envie, l'envie de se faire prendre encore. Carine lui caresse les couilles. Elle les prend à pleine mains et les caresses avec douceur.

Il lui demande d'aller dans le salon et d'être très gentille avec les messieurs qui s'y trouvent. La pénombre est là, elle distingue trois personnes assises dans un canapé et un debout qui s'approche d'elle. Il la fait mettre à genoux et lui met dans la bouche sa bite qu'elle avale avec délicatesse. Les autres hommes s'approchent et commencent à la caresser. L'un d'entre-deux a choisi sa chatte qui est encore toute mouillée. Un autre lui malaxe les fesses tandis que le dernier lui retire le haut de la robe dénudant ainsi ses jolis seins. Un doigt dans le cul lui ravive l'orgasme qu'elle avait eu avec Monsieur Jean. Une autre bite se présente à sa bouche toute aussi grosse que la précédente. Carine ne contrôle plus rien et s'abandonne à ses clients qui a b u s e nt d'elle de tous les côtés.

Prise en double pénétration, elle se cambre à chaque coup de queue en se faisant lécher chaque sein goulûment. Cette position l'excite terriblement et tour à tour chaque homme qui vient la prendre lui procure de rares orgasmes. Quelques fessées et mots obscènes délivre son plaisir par des gémissements cochons.